Good science, better medicine, best practice: les crédos des présidentielles de l’ESMO

27.09.2019 au 01.10.2019 - Barcelone

Good science, better medicine, best practice: les crédos des présidentielles de l’ESMO

Rendez-vous incontournable de l’oncologie avec la présentation et la discussion d’essais princeps susceptibles de modifier à court ou moyen terme les pratiques, l’ESMO avait rassemblé cette année plus de 23.000 participants venus suivre et consulter quelques-unes des 3.680 présentations. Parmi celles-ci, plus de 70 Late Breaking Abstracts, dont 14 ont été retenus en sessions présidentielles, avec l’ovaire, le sein, le poumon, l’appareil digestif supérieur, la prostate et la vessie en vedettes. Résumé, implications et opinions.

Compte-rendus du congrès

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FLAURA: la fin des inhibiteurs de tyrosine kinase de 1ère génération?

17 février 2020

Les mutations du gène du récepteur du facteur de croissance épidermique (EGFR) ont été découvertes en 2004. Ces mutations, localisées le plus souvent à l’exon 19 ou 21,ont une incidence qui varie de 15% à 35% des cas d’adénocarcinome selon les régions.

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Avec PROfound, l’olaparib se positionne en cas de mutation des gènes HRR

27 décembre 2019

Le cancer de la prostate métastatique résistant à la castration est toujours létal. Hétérogène sur le plan moléculaire, il présente dans 30% des cas environ une mutation des gènes de la réparation de la recombinaison homologue, ce qui lui confère théoriquement une belle sensibilité aux inhibiteurs de PARP

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ATTRACTION-3 dans le carcinome épidermoïde de l’œsophage

27 décembre 2019

La survie à 5 ans en cas de cancer œsophagien de stade avancé ne dépasse pas 8%, avec pour seul traitement actuel de 1ère ou 2e ligne la chimiothérapie pour la forme la plus fréquente de ce cancer, le carcinome épidermoïde.

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ClarIDHy dans le cholangiocarcinome avancé

23 décembre 2019

Le cholangiocarcinome est un cancer rare et agressif pour lequel les options thérapeutiques se limitaient à la chimiothérapie...

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BROCADE 3: le véliparib dans le cancer du sein métastatique HER2- BRCA+

23 décembre 2019

Les cancers du sein avec mutation germinale BRCA1/2 ont une meilleure sensibilité aux sels de platines et une belle sensibilité aux inhibiteurs de PARP...

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CARD confirme le cabazitaxel en 3e ligne  d’un mCRPC

23 décembre 2019

La meilleure séquence de traitements chez les patients mCRPC déjà traités par docétaxel et une hormonothérapie de 2e génération n’est pas connue et a très peu été évaluée dans des études prospectives, tandis qu’une hormonothérapie après échec de l’autre ne montre que des taux de réponses modestes.

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KEYNOTE-522 propose l’immunothérapie en cas de cancer du sein triple négatif

23 décembre 2019

Il est classique aujourd’hui de proposer une chimiothérapie néoadjuvante en cas de cancer du sein triple négatif, avec l’objectif d’obtenir une réponse histologique complète, paramètre prédictif d’un bénéfice en OS.

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CheckMate 227: l’union fait la force

19 décembre 2019

Le nivolumab et l’ipilimumab ont un mécanisme d’action différent et complémentaire. Celui-ci passe pour l’ipilimumab par l’induction de réponses de novo contre les cellules T tumorales, favorisant ainsi l’émergence de cellules T mémoire et une augmentation compensatoire du PD-L1 tumoral, tandis que le nivolumab restaure la fonction des cellules T antitumorales.

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MONARCH ouvre une voie royale à l’abémaciclib (19)

18 décembre 2019

Les tumeurs positives pour les récepteurs endocriniens (HR+) sont les plus fréquentes des tumeurs mammaires (20), et les inhibiteurs de CDK4/6 sont à présent le traitement de référence pour ces patientes lorsqu’elles présentent un cancer du sein de stade avancé HR+, HER2-.

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VELIA: le véliparib pointe timidement son nez (9)

13 décembre 2019

Le véliparib est un inhibiteur de PARP 1/2 dont la caractéristique est d’induire un effet trapping plus faible que les autres inhibiteurs de PARP et une plus grande PARylation, expliquant probablement sa moindre toxicité digestive et hématologique, et lui permettant d’être administré de façon concomitante à la chimiothérapie.

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PAOLA confirme l’intérêt de combiner olaparib et bévacizumab (8)

13 décembre 2019

Le bévacizumab combiné à la chimiothérapie en 1ère ligne suivi par un traitement de maintenance par bévacizumab est le traitement de référence en cas de cancer de l’ovaire de stade avancé nouvellement diagnostiqué.

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PRIMA met le niraparib en exergue (4)

13 décembre 2019

Le niraparib est le premier inhibiteur de PARP approuvé en maintenance chez toutes les patientes, mutées ou non pour BRCA, avec cancer de l’ovaire récurrent sur base de l’étude NOVA.

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