Calréticuline mutante et cancers myéloprolifératifs: de nouvelles possibilités thérapeutiques grâce aux travaux de l’Institut Ludwig

Echos de l’ASH 2018

Dans un travail présenté par Thomas Balligand (Institut Ludwig), les auteurs ont montré que la perte du domaine C terminal de la calréticuline après mutation du gène codant pour cette protéine entraîne la sécrétion d’une protéine CalR mutante dans le milieu extracellulaire,...

Vous souhaitez continuer à lire cet article ?

L'accès à la totalité de l'article est réservé aux professionnels de la santé.

Si vous êtes un professionnel de la santé vous devez vous connecter ou vous inscrire gratuitement sur notre site pour accéder à la totalité de notre contenu.
Si vous êtes journaliste ou si vous souhaitez nous informer écrivez-nous à redaction@rmnet.be.