Cancer: Comment améliorer le quotidien des patients?

02.06.2017 au 06.06.2017

Cancer: Comment améliorer le quotidien des patients?

Vivre avec un cancer… Lors du dernier congrès de l’ASCO, plusieurs études ont été présentées, qui recherchaient une amélioration de la qualité de vie des patients souffrant d’un cancer. Voici un résumé subjectif de quelques-unes de ces études.

Dr Dominique-Jean Bouilliez

Compte-rendus du congrès

Cancer: Comment améliorer le quotidien des patients?

La gériatrie: la grande oubliée des études?

14 juin 2018

Sur les 1.700.000 personnes atteintes d’un cancer chaque année aux États-Unis, 3% sont enrôlées dans des essais cliniques. Mais ces patients sont plus jeunes que la moyenne, en meilleur état général et d’origine caucasienne pour la plupart…

Cancer: Comment améliorer le quotidien des patients?

Et que penser du ginseng?

14 juin 2018

C’est une évaluation de l’effet du ginseng rouge coréen – qui contient plusieurs variétés de ginseng, dont le Panax ginseng – sur la fatigue qu’a proposée une équipe sud-coréenne.

Cancer: Comment améliorer le quotidien des patients?

Du yoga pour les troubles du sommeil et la fatigue?

14 juin 2018

Troubles du sommeil et fatigue altèrent considérablement la qualité de vie de la majorité des patients en cours de traitement ou après celui-ci. C’est dans ce cadre que Po-Ju Lin et son équipe ont enrôlé 321 patients souffrant d’un cancer dans une étude portant sur les bénéfices potentiels du yoga.

Cancer: Comment améliorer le quotidien des patients?

Cancer du côlon: importance de l’activité physique

14 juin 2018

Réduire le risque de récurrence est un vieux rêve, en particulier pour le cancer colorectal, pour lequel la Société Américaine du Cancer conseille depuis 2001 la consommation régulière de fruits, de légumes et de fibres tout en stimulant les patients à effectuer un exercice physique régulier.

Cancer: Comment améliorer le quotidien des patients?

La sédation de fin de vie: une problématique qui mérite que l’on s’y attarde

14 juin 2018

Près de 90% des patients en phase terminale d’un cancer sont susceptibles de développer un delirium accompagné souvent d’une grande agressivité, ce qui est extrêmement perturbant pour l’entourage, d’autant que l’agitation qui en résulte impose des mesures coercitives par le personnel soignant.

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