La chimiothérapie moins dangereuse pour le fœtus que le tabac ou l’alcool

Echos de l'ESMO 2014

 

La formule se veut interpellante. Elle a le mérite de refléter la réalité quotidienne des obstétriciens et des pédiatres: un enfant né d’une mère qui a bénéficié d’une chimiothérapie durant la grossesse (à partir du deuxième trimestre) ne court pas plus de risques sur le plan...

Vous souhaitez continuer à lire cet article ?

L'accès à la totalité de l'article est réservé aux professionnels de la santé.

Si vous êtes un professionnel de la santé vous devez vous connecter ou vous inscrire gratuitement sur notre site pour accéder à la totalité de notre contenu.
Si vous êtes journaliste ou si vous souhaitez nous informer écrivez-nous à redaction@rmnet.be.